samedi 23 janvier 2021

Pourquoi ne suis-je plus libéral ? Penser les limites de la liberté avec la théorie politique pluraliste de John Kekes

Chers lecteurs,

L’essai est à télécharger à l’adresse suivante : [Pourquoi ne suis-je plus libéral - Penser les limites de la liberté avec la théorie politique pluraliste de John Kekes] par J D - Fichier PDF (fichier-pdf.fr)

Je vous souhaite de riches moments de lecture. 

Post-scriptum du 28/04/2021: Pour un débat autour des thèses de cet essai, cf: Pourquoi ne suis-je plus libéral ? Penser les limites de la liberté avec la théorie politique pluraliste de John Kekes - Philosophie, éthique et histoire - Liberaux.org

2 commentaires:

  1. Hum... C'est intéressant, mais paradoxalement je ne perçois pas à travers cet essai un changement radical de direction de votre part. J'y vois même au contraire une certaine continuité dans le rapport fondamental à l'existence. Votre rapport fondamental à l'existence apparaît toujours, à travers ces écrits, comme un rapport réflexif, rationnel. Vous réfléchissez dans un cadre neutre, abstrait, purement rationnel, et ensuite vous appliquez le fruit de vos recherches logiques à la matière de l'existence. Mais combien d'individus procèdent comme cela dans la société ? La crise que nous vivons n'est pas celle de l'État, ou celle de l'aspiration à la liberté individuelle, c'est celle de la rationalité. Le monde moderne a de fait diminué la portée de la rationalité, et lorsque l'État cherche à imposer des décisions rationnelles, il se heurte à des résistances farouches, de nature émotionnelle, et qui sont d'autant plus sûres de leur légitimité qu'elles sont plus émotionnelles (gilets jaunes, confinements, etc.).

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    1. Je pense que vous avez une lecture très "existentielle" de mon évolution, Laconique ^^ Pourtant ces changements de valeurs ont de lourdes implications en politique, et même de façon plus générale, car il y a tout un aspect moral dans ma réflexion. Et je pense que ma personnalité, mon humeur moyenne également, s'est relativement infléchie au-delà de la politique stricto sensu.

      Quant aux exemples que vous citez... La révolte des Gilets jaunes partait d'une contestation fiscale pesant sur des déplacements contraints, ça ne me semble pas irrationnel. La pertinence des politiques de confinement fait aussi l'objet de critiques depuis le début (cf: http://aristidebis.blogspot.com/2020/04/sed-perseverare.html ), même si je n'ai pas d'avis tranché là-dessus.

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